Les transports publics sont une alternative à privilégier pour nos déplacements urbains,  lorsque le vélo ou le vélo électrique n'est pas une solution. Ils sont moins émetteurs de gaz à effet de serre, utilisent de manière plus efficiente l'espace public et, par leur électrification progressive, sont moins bruyants que les véhicules individuels.

Le canton de Genève connaît une forte hausse démographique, et le développement des transports publics doit permettre d'apporter une réponse satisfaisante aux problèmes de circulation. Les réseaux de trams, le Léman Express ou l'arrivée des Bus à Haut Niveau de Service (BHNS) sont autant de moyens rapides de se déplacer, y compris depuis la zone frontalière.

Adopter une mobilité multi-modale en intégrant les transports publics pour la plus grande partie du trajet possible.

Penser aux subventions des communes pour un abonnement de transport public. Selon les communes, la subvention peut varier entre 100.- et 350.-

 

Les déplacements pendulaires en voiture individuelle à l'Université ne représentent qu'environ 10% des déplacements des collaboratrices et collaborateurs, mais ils comptent pour 85% des émissions de CO2 du domaine.

L'Université alloue une subvention de 80.- aux collaboratrices et collaborateurs pour leur abonnement de transport public

L'Université a obtenu en automne 2023 le label étatique d'institution eco-mobile.

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Ce label vise à valoriser les entreprises et institutions genevoises qui mettent en place des plans de mobilité.
 
L'Université s'aligne avec la politique de l'Etat et ne propose plus de place de parking aux membres de sa communauté.
 
 
 

On peut calculer et comparer son empreinte carbone liée à ses déplacements avec l'outil mobility impact

Le site Impact CO2 de l'ademe permet de tester l'empreinte de ses déplacements ttps://impactco2.fr/transport

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